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Compte-rendu de l'Assemblée Générale de la CEC
13, 14 septembre 1997
|
rédigé par Javier Perez et Hélène Ardhuin.
PLAN DU CR DE L'AG :
1/ Rapport financier et rapport moral de la CEC depuis sa création
(02.03.96)
2/ Bilan d'activité des associations
ADDOC, ADEM et le pôle CEC-LR, ATHEMA, ADOC de Rennes, J. Binet, ADSL, AJC06, AMESAT, CDT, CDG, CORE-DUMP, BioDocs, BDT, ANCMSP, ADICJ.
2.b/ Associations non présentes dont nous avions des nouvelles
(adhérentes ou non de la CEC)
2.c/ Rappel descriptif concernant la GDD (Guilde Des Doctorants),
et AHD (Action-HotDocs)
3/ Discussion sur le fonctionnement de la CEC, ses perspectives
et ses orientations
3.b/ Informations sur les questions d'accès au réseau
et de pérennité de cet accès
3.c/ Débat sur les points forts et les points faibles
des revendications de la CEC (CdT, vide concernant certaines
thématiques comme les heures sup, les post-doc, ...)
3.d/ Un des objectifs : être considéré comme
organisme
représentatif, i.e. au regard des textes de loi actuels obtenir des
représentants au CNESER (Conseil National de l'Enseignement Supérieur
et de la Recherche). Discussion sur les moyens d'y parvenir.
4/ Devant la quantité d'actions locales portant sur les débouchés extra-académiques (Cf 2/), discussion sur une mutualisation de ces efforts locaux et sur les possibles actions nationales sur ce thème.
4.b/ Constitution de 2 groupes de travail :
- pour une mutualisation des actions locales (échanges
d'informations, entre-aide) ;
- pour une action auprès du ministère dont les responsables
(Allègre, Courtillot) sont ceux qui ont augmenté (en 1988-89) le flux
de doctorants en vue de leurs futurs débouchés (Université 2000 et les
besoins de R&D dans le privé).
5/ Ensemble des motions votées
6/ Renouvellement du bureau et de la coordination
6.b/ Votes
1/ Rapport financier et rapport moral de la CEC depuis sa création
(02.03.96)
PLAN :
1.a/ Rapport financier et commentaires
1.b/ Rapport moral
- Bilan présenté par le président, Renaud Leplaideur
- Compléments concernant la coordination de la CEC
- Résumé des discussions sur cet état des lieux
1.a Rapport financier présenté par la trésorière Véronique Hédou
La CEC compte 34 associations + 14 individus
OPERATIONS | CREDIT | DEBIT |
Cotisations 96/97
Cotisations 97/98 versées Dons
|
7500,00 F
600,00 F 4217,87 F
|
|
Déplacements
Courrier Divers |
- 4404,20 F
- 2598,30 F
- 580,00 F
|
soit un solde positif de 5488,37 F |
Commentaires :
- dans les dons est compté l'argent versé par l'association AMES
lors de sa dissolution, ainsi que des dons d'associations pour aider à
l'achat d'un disque dur.
- les frais de courrier sont principalement dûs aux courriers pour les
associations non connectées au réseau (leur nombre n'est maintenant
plus que de 2) et environ 2000F pour des envois du "Contrat de
Thèse" (CdT).
- les déplacements correspondent à des déplacements de personnes
pour aller représenter la CEC.
Il a été rappelé à ce moment-là qu'un groupe-fric avait été constitué
mais n'a pas encore réellement fonctionné.
Vote de ce rapport financier : unanimité moins 5 abstentions.
1.b Rapport moral
Remarque préliminaire : ce bilan a rappelé les actions les plus
importantes de la CEC, lesquelles sont décrites sur le
serveur web.
Voici donc dans l'ordre chronologique les actions à l'actif de la CEC
ou les remarques sur son fonctionnement, présentées par le président
Renaud Leplaideur :
Création le 2 mars 1996 de cette confédération sous forme de structure légère qui tienne compte du fonctionnement local des associations. Organisation autour d'un Conseil d'Administration avec une coordination dont le rôle est d'assurer la cohésion de l'ensemble et avec un bureau voulu sans grand pouvoir.
Principe : un texte proposé par une association est voté par le CA, depuis la création de la CEC ceci a évolué vers la constitution de groupes d'individus (membres des associations ou adhérent direct) connectés via le réseau pour plancher sur des thèmes restreints et proposer au CA des prises de position ou des actions.
De fait, la CEC touche surtout des personnes des sciences de la nature
(cf. sciences dites "dures"), et peu des sciences de l'homme
(cf. sciences dites "humaines").
Remarques de Renaud sur le fonctionnement : au démarrage 6
personnes faisaient tourner la baraque d'où des critiques formulées
par des associations, depuis il y a eu une relève, le système des
groupes de travail (réunis via le réseau) permet d'avancer sur un
thème précis et d'impliquer plus de monde.
Rappel de quelques problèmes rencontrés depuis la création :
- il y a eu un essai de noyautage ou récupération par
l'UNEF-ID au moment des élections au CNESER de juin 1996.
- une personne a tenté de faire passer ses idées personnelles pour
des "idées-cec" et a agressé un membre de la CEC à son
domicile personnel (une plainte pour "séquestration et
menaces" a été déposée, et déclarée recevable, auprès du
procureur à Lyon)
Complément à ce rapport moral fait par les coordinateurs de la CEC :
En dehors de ceci, ce schéma de fonctionnement de la coordination
semble convenir. Cette AG a été mise à profit pour réfléchir et
tenter d'apporter des solutions à ces quelques problèmes (Cf. en
particulier les points 3.a/ et 5/ du compte-rendu).
Remarque : il a été rappelé qu'il faut une présence permanente à la CEC, une "veille". Par exemple, c'est cet été que les tables rondes organisées par le ministère se sont mises en place et qu'il a fallu réagir et s'y préparer.
Résumé des discussions sur cet état des lieux :
- Bilan plutôt positif, la CEC a 1 an et demi et la situation a beaucoup évolué depuis sa création. En particulier, la participation aux tables rondes du ministère est un signe incontestable de reconnaissance officielle de la CEC par celui-ci.
- Cependant, le problème du renouvellement des membres des associations semble aigu : beaucoup d'associations voient "vieillir" la moyenne d'âge de leurs adhérents et le problème du recrutement de nouveaux actifs reste entier. Quelqu'un fait remarquer que cela vient peut-être d'un intérêt pour d'autres types d'"actions" que celles qui ont été mises en avant jusqu'à présent (par exemple des actions plus tournées vers la valorisation de la recherche dans le privé).
Un autre point faible : la communication.
- Un groupe cec-comm avait été créé au précédent CA, mais c'est pour l'instant une structure vide => à faire évoluer.
- Mais ce sont également les associations qui se manifestent trop
peu : pour le recensement mené par Laurence Pelletier, par
exemple, il suffisait aux associations de renvoyer le nombre de leurs
adhérents et de leurs membres actifs, pourtant nombre d'entre elles ne
l'ont toujours pas fait.
Une remarque a été faite sur le peu d'associations des sciences de
l'homme qui sont à la CEC et le peu de lien avec des doctorants de ces
disciplines (dû au fait que nous communiquons surtout via le réseau et
que les contacts avec des doctorants de ces disciplines relèvent plus
de contact "sur le terrain, en local").
2/ Bilan d'activité des associations
2.a/ Associations présentes :
ADDOC, ADEM et le pole CEC-LR, ATHEMA, ADOC de Rennes, J. Binet, ADSL, AJC06, AMESAT, CDT, CDG, CORE-DUMP, BioDocs, BDT, ANCMSP, ADICJ.
Chaque association a disposé de cinq minutes pour présenter son
fonctionnement, ses bilans et perspectives d'évolution. Toutes
n'ayant pas insisté sur les mêmes points, il était très difficile pour
les secrétaires de séance de faire un résumé-type pour chacune
d'elles. Nous avons donc essayé de reproduire le plus fidèlement
possible les aspects développés par leurs délégués. Certaines ont des
serveurs WEB sur lesquels vous pourrez trouver de plus amples
informations.
1/ ADDOC - Agir pour les doctorants et les jeunes docteurs
Etat des forces : 80 membres, une quinzaine d'actifs.
10 élus dans l'ensemble des conseils d'UFR et centraux de
l'Université. 1 représentant invité à la commission des thèses.
L'association se réunit toutes les deux semaines pour discuter des
questions d'actualité. Hormis ces réunions, l'information circule par
mail.
Des groupes de travail sont parfois constitués pour élaborer des
projets précis.
L'association est présentée à chaque rentrée devant un public de
thésards. Une page de présentation d'ADDOC est insérée dans le dossier
d'inscription en thèse.
Bilan des actions :
Participation aux discussions sur les Etats Généraux au niveau de
l'Université Paris-Sud, avec rédaction d'une contribution écrite.
Co-organisation, avec l'UNEF d'Orsay, de tables rondes de
discussion avec les étudiants de 1er et 2ème cycles sur les relations
enseignement-recherche à l'Université : les étudiants s'étaient
montrés intéressés.
Présentation du "Contrat de Thèse" de la CEC aux divers
conseils, débouchant sur l'adoption prochaine par le Conseil
Scientifique d'une "Charte des thèses" pour l'Université
Paris-Sud.
Participation active aux opérations "Brelan d'As" et
"Nuage de lait".
Les occupations d'ADDOC vis à vis des débouchés extra-académiques
restent embryonnaires et se sont limitées au regroupement de
l'ensemble des fiches signalétiques des thésards d'Orsay, en vue de
créer un annuaire de CV visible de l'extérieur. L'activité a été
prise en charge par la Bourse de l'Emploi d'Orsay, antenne locale de l'ABG
(une personne statutaire).
Documents :
Lettre de protestation après la création de postes de PRAG dans des
disciplines scientifiques à Orsay.
Lettre de réaction en septembre 96, reprise par la CEC et envoyée
au ministère, après l'annonce de "l'extinction" (terme
employé pour cette annonce) prochaine du monitorat.
Les perspectives de reprise de l'association apparaissent très
incertaines, vu la faible implication, pour le moment, des personnes
en 1ère et 2ème année de thèse.
2/ ADEM - Association des Doctorants et Docteurs en Economie de Montpellier
Etat des forces : 5 personnes, 3 actifs.
Membre, depuis juillet 1997, du pôle Languedoc-Roussillon de la CEC, qui regroupe 5 associations.
Bilan des actions :
Organisation de séminaires scientifiques pour que les thésards se
rencontrent.
Mise en place des premières doctoriales de Montpellier.
Constitution d'un annuaire de CV des jeunes docteurs, dans
l'esprit de ceux proposés par l'Association Bernard Grégory aux
entreprises.
Constitution d'un annuaire des anciens.
Projets :
Rédaction d'un article dans le journal "La Marseillaise".
Préparation d'une émission hebdomadaire sur Radio-France Hérault,
animée par un étudiant de 3ème cycle.
3/ ATHEMA
6 ans d'âge (ce qui mérite d'être signalé).
Etat des forces : 50 personnes sur Alès, Nîmes et Pau.
Activités diverses :
représentations des doctorants vis-a-vis de l'administration, insertion
professionnelle des docteurs, loisirs,...
Activités essentiellement tournées vers l'entreprise (statut
particulier pour les thésards : chacun possède une bourse
délivrée par l'Ecole des Mines d'Alès).
Association a priori peu motivée par la CEC.
Bilan des actions :
Elaboration d'une plaquette envoyée à des entreprises, présentant
l'activité des doctorants.
Mise en place de "Doctorama" : semaine consacrée à
monter des projets (proche des Doctoriales).
Participation à l'opération "15 docteurs - 15
entreprises" mise en place par l'association
Contact sur Montpellier ; 15 jeunes docteurs proposent de mettre en
évidence les projets non développés dans les PME locales et de les
faire aboutir.
4/ ADOC Rennes - Association des doctorants de l'Ecole doctorale SPI/Informatique, Traitement du Signal et Télécommunications de l'Université de Rennes 1
Web : http://www.irisa.fr/adoc
Etat des forces : 60 membres, 10 à 15 actifs.
Le bureau est systématiquement renouvelé chaque année.
Discipline majoritaire : sciences pour l'ingénieur.
L'information interne passe par le mail essentiellement. Des réunions
sont organisées au coup par coup. De plus, des groupes de travail
fonctionnent au cours de l'année, après une présentation annuelle.
Subventions ponctuelles provenant de l'Ecole Doctorale ou de sponsors
privés.
Bilan des actions :
Elaboration d'un annuaire des anciens.
Organisation de rencontres doctorales (séminaires) pour faire se
rencontrer les thésards. Ces rencontres sont
parainnées par un industriel pour faire connaître la
formation doctorale. Organisation de rencontres DEA/doctorants.
Récupération et distribution des dossiers
d'inscription en thèse, avec insertion d'une feuille de présentation et
d'inscription à l'Adoc.
Adoc appartient à la fédération Aitres (Association Interdisciplinaires des
Thésards de Rennes 1 Sciences) avec la participation
à :
- la mise en place de "Recrue Des Sciences" : conférences
d'entrepreneurs, organisation de simulations d'entretiens.
- la mise en place du projet (en collaboration avec l'ANDeS et la
fédération AITRES) d'un parrainage de thésards par des docteurs en
poste dans l'industrie.
Une présentation de
Recrue Des Sciences se trouve sur le site de AITRES :
http://www.irisa.fr/adoc/Aitres/
Des contacts ont été établis avec l'équivalent hongrois de la
CEC.
5/ "Jacques Binet" à Rennes
site web en construction : http://www.maths.univ-rennes1.fr/~binet
Etat des forces : 30 membres, petite poignée d'actifs
Finances provenant du comité des fêtes.
Bilan des actions :
Organisation de séminaires internes en maths.
Le "Contrat de Thèse" a été présenté à la présidence de
l'Université (avec ADOC).
--> A noter que le directeur de l'école doctorale de mathématique
est hollandais et considère que la thèse est un travail, et doit donc
être rémunérée (discussion privée). Il s'agit selon lui de la pratique
normale en Hollande, où le thésard est embauché par l'université sur
un CDD.
6/ ADSL - Association du Doctorat Scientifique Lyonnais
Etat des forces : 200 membres, plus de 20 actifs. 2 élus au Conseil Scientifique, élus dans 3 UFR.
Financement : 4000 F de la mairie de Villeurbanne + 3000 F de
l'Université Lyon 1.
Liens permanents avec le Service des Relations Industrielles de
l'Université de Lyon I.
Liens avec une association de 2ème cycle et une association de
docteurs au chômage.
Liens avec la Confédération Générale des PME
Bilan des actions :
Diffusion du CdT, aboutissant à la création d'une commission au
Conseil Scientifique.
Organisation d'une "journée des thèses", dirigée vers
un public de 2ème cycle.
Organisation de visites d'entreprises.
Le groupe "relations avec les entreprises" a organisé
avec succès une première table ronde, en collaboration avec la CGPME,
l'ANDeS, et l'ANPE.
Elaboration du texte "Tutorat", en cours de vote par la CEC.
7/ AJC06 - Association des Jeunes Chercheurs des Alpes Maritimes
Etat des forces : 100 membres, 10 actifs
Fonctionne par projets concrets. Fortement orientée extra-académique.
Bilan des actions :
Aide ponctuelle à la recherche d'emploi.
Mise en place d'un centre de documentation pour les 3ème cycle.
Mise en place d'une formation subventionnée "gestion /
marketing".
8/ AMESAT - Association des Moniteurs de l'Enseignement Supérieur de l'Académie de Toulouse
Etat des forces : 25 membres, 4 actifs. 1 représentant au conseil pédagogique du CIES de Toulouse
Subvention par les Universités : 3 fois 5000 F par an.
Réunions tous les quinze jours. Pas de discussion par mail.
Bilan des actions :
4 soirées "information/débats".
Interpellation des "autorités" sur le problème de
chevauchement entre la fin du contrat de moniteur et le début du
contrat d'ATER.
Perspectives : Dissolution à l'ordre du jour de la prochaine
AG
9/ CDT - Collectif de Doctorants Toulousain
Etat des forces : 50 adhérents, 10 actifs. Regroupe deux instituts : Toulouse III et l'INP de Toulouse.
Financement provenant de l'Université, des adhérents et des élus dans
les divers conseils.
Deux groupes de travail prévus pour l'année 96/97 n'ont pas
survécu : "liens avec les PME-PMI", "liens avec
les députés".
Bilan des actions pour 1996/1997 :
En juin 1997, suite à une année de discussions/négociations, une
charte des thèses a été adoptée par le Conseil Scientifique de
Toulouse III et est donc applicable. Elle doit passer devant le
Conseil d'Administration courant septembre pour être incluse dans le
règlement intérieur de l'Université.
Tentative d'exonération des frais d'inscription pour les thésards
non financés (sur le principe que l'Université peut exonérer 10%
d'étudiants sur critères sociaux).
Participation à l'intersyndicale toulousaine, entre autres pour
la diminution des heures complémentaires (en particulier, liens avec
le SNCS, Syndicat National des Chercheurs Scientifiques).
Soutien actif à un projet du responsable de la formation
continue, visant à inclure des thésards comme formateurs ou personnes
chargées de la conception de cours. Un des buts visés est d'obtenir
des vacations pour les thésards non financés.
10/ CDG - Collectif des Doctorants Grenoblois
Etat des forces : 70 membres, 5 actifs.
Situation des sciences sociales par rapport aux sciences de la nature : plus faible taux de thèses financées et faible accès à Internet.
Le CDG a défini une ligne double :
- revaloriser l'activité de recherche au sein de l'Université
(ex : lutte contre la création de postes d'enseignants-non
chercheurs, i.e. de PRAG).
- valoriser le doctorat hors de l'Université
Bilan des actions :
Fort impact du CdT auprès des institutions universitaires.
Participation aux Etats-Généraux de Bayrou, de façon autonome.
Plaquette d'information sur l'association dans les dossiers d'inscription.
Edition d'un journal (3 à 4 numéros par an). Participation aux
doctoriales. Rédaction d'un article en direction des PME-PMI.
Obtenu du Conseil Scientifique :
- un espace de travail pour les doctorants
- un local pour le CDG
- le financement d'une enquête sur les débouchés industriels, avec
participation du CDG au comité de pilotage. Cette enquête a débouché
sur un mémoire de DEA et une thèse cofinancée par l'ABG.
11/ CORE DUMP des Doctorants en Informatique de Nancy
Conseil des thésards du laboratoire réuni en association en 96. 4
élus à l'Université, dont 2 au nom de l'UNEF-ID.
Intégration des DEA dans l'association.
Les mails de la CEC sont filtrés : faible intérêt de la plupart
des membres pour la CEC.
Bilan des actions :
2 projets majeurs : réflexion pour la mise en place d'un contrat de
thèse local et réalisation d'un annuaire des anciens.
Mais aussi : réalisation d'un serveur web, rédaction
d'articles dans le journal du laboratoire, création
d'un service de veille technologique (peu de succès),
invitation d'industriels aux soutenances de thèse.
12/ BIODOCS
Association nationale, essentiellement parisienne.
Etat des forces : 220 membres, 20 actifs.
Réunion du CA une fois par mois.
1 élu au Conseil Scientifique de Paris V.
80% d'adhésions lors des présentations de l'association.
Contacts étroits avec une association de 2e cycle, la FNEB
(: Fédération Nationale des Etudiants en
Biologie).
Serveur WEB assez complet.
Bilan des actions :
Articles publiés dans les média, faisant référence à la CEC et à
BioDocs, en particulier trois-quarts de page dans le Figaro.
Recensement de tous les DEA de biologie pour se faire connaître.
Recensement (en veille) des entreprise de biotechnologie.
Réflexion menée par un groupe "Post-Doc" sur la fuite des
cerveaux.
Participation active aux actions "Brelan d'As" et
"Nuage de lait".
Co-organisation du premier carrefour annuel des biotechnologies en
novembre 1997 en collaboration avec le ministère MENRT. Des tables rondes seront consacrées à la situation des
doctorants.
13/ ENST - Association des Thésards de l'Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications
Web : http://www.enst.fr/~bdt/
Etat des forces : 30 adhérents, 5 ou 6 actifs.
L'association est en sommeil. Faible réaction face aux problèmes (réels) de droits sociaux des jeunes docteurs concernant accès aux ASSEDIC.
Bilan des actions :
Organisation d'une semaine d'intégration des thésards.
Participation à la création d'une antenne de l'ABG.
Participation active du président aux tables rondes
ministérielles actuelles.
14/ ANCMSP - Association Nationale des Candidats aux Métiers de la Science Politique
Association nationale, créée en 1993.
Etat des forces : 100 membres (étudiants, précaires, titulaires).
Lien avec la CEC datant de 1996. Certains désaccords concernant le CdT.
Bilan des actions :
Dénonciation du mode de recrutement des Maîtres de Conférences.
Dénonciation de la pratique des heures supplémentaires.
Revendication d'un statut pour l'étudiant-chercheur.
Perspectives : Toucher les autres sciences sociales.
15/ ADICJ - Association de Doctorants en Informatique du Campus de Jussieu
Etat des forces : 20 membres, mais aucune relève depuis 1996. Les membres actifs vont partir bientôt.
Fait partie du conseil de laboratoire, à Paris VI.
Bilan des actions :
Obtention d'une petite charte des thèse (2 pages) : c'est déjà
bien !
Participation aux opérations "Brelan d'As" et
"Nuage de lait".
2.b/ Associations non présentes dont nous avions des nouvelles
(adhérentes ou non de la CEC)
Remarque : le "paysage associatif" dans le milieu doctorant est très mouvant car les associations sont souvent fragilisées par le fait que leurs adhérents sont par essence disponibles sur 2-3 années. Nous avons donc essayé de faire un tour pour savoir si nous avions des nouvelles d'associations actives par le passé mais actuellement silencieuses, et d'associations récemment crées.
Parmi les associations qui n'étaient pas représentées mais sont adhérentes de la CEC, certaines sont "connues pour" être actives, tandis que d'autres ne donnent plus beaucoup de signe de vie. Parmi les "actives" : ARDEUR (Clermont-Ferrand), CONTACT (Association des élèves et anciens élèves des Ecoles Doctorales de l'Académie de Montpellier), ACMEMP (Association des thésards du Centre des Matériaux de l'Ecole des Mines de Paris), APIDoC (Association de Promotion et d'Information des Doctorants Caennais)...
NB : nous serions très heureux de savoir que nous en avons
oublié ... donnez des nouvelles !
Par ailleurs, d'autres associations se sont créées récemment, sont en
cours de création, ou existaient mais ont eu des contacts plutôt
récents avec la CEC : sur l'INSA de Lyon, sur l'INSA de Rennes,
une association de doctorants en biologie sur Toulouse (Alpha T), une
autre sur trois laboratoires toulousains, à Nice sur la faculté de
droit, à Lille, Marseille, à l'INRIA Rhônes-Alpes, une association
ADOC sur Orléans, à Bordeaux en sciences de l'homme ...
2.c/ Rappel descriptif concernant la GDD (Guilde Des Doctorants), et AHD (Action-HotDocs)
- la GDD et les dernières évolutions
Jusqu'en juillet dernier, la Guilde était en fait constituée d'un
groupe de personnes informel qui administrent les différents morceaux
du serveur WEB sous
http://garp.univ-bpclermont.fr/guilde/ , les mailing listes
HotDocs, Reservoir-Docs, hd-emploi et ses sous-listes,
hd-expats. Cependant, il est apparu que la situation actuelle poserait
à terme des problèmes, notamment à cause de la présence de la GDD sur
le réseau Renater et de l'utilisation de machines de laboratoires
publics pour nos activités. Pour pérenniser l'accès au réseau (après
attaques en règles de la société des agrégés contre l'hébergement à
l'Ecole Polytechnique et à l'ENS Lyon), la GDD est devenue association
loi 1901 en juillet dernier.
(Cf.
http://garp.univ-bpclermont.fr/guilde/ )
Le but de cette modification est double :
D'autre part, la Guilde Des Doctorants souhaite mettre à jour les guides destinés aux doctorants, travailler pour offrir un service plus complet (exemples : génération automatique de pages web présentant les profils des postes MdC, CR, ATER, ... à partir d'informations que les doctorants iraient chercher sur le terrain) ...
Mais pour ces mises à jour et pour ces nouveaux services, la GDD
lance un appel à participation !... Les volontaires sont bienvenus,
ainsi que toute idée d'amélioration !
- AHD
Il s'agit à l'origine du groupe de personnes qui a rédigé le
rapport HotDocs et qui a souhaité aller au delà de cette rédaction
(diffusion du rapport et des idées qu'ils contenait, en particulier
mise en forme d'un "Contrat de Thèse", ...). Ces deux
dernières années, ce groupe a joué un rôle de laboratoire d'idées.
AHD est en train de débattre sur son avenir, son
"vieillissement" (peu de nouvelles recrues) : il y a à
l'heure actuelle trois grands pôles complémentaires CEC, GDD et AHD.
Les débats actuels au sein d'AHD portent sur le choix à faire
entre un recentrage sur deux pôles seulement CEC et GDD et le maintien
des trois pôles. A ce moment, Renaud Leplaideur a insisté sur
l'absolue nécessité pour la CEC d'informer HotDocs de ce qu'elle
fait. Normalement, c'est le groupe cec-comm qui devrait s'en
charger.
3/ Discussion sur le fonctionnement de la CEC, ses perspectives
et ses orientations
3.a/ sur le fonctionnement : discussion sur les moyens de
"passer le cap" face à une apparente démotivation des
nouveaux doctorants. Propositions d'ADDOC et débats pour modifier le
fonctionnement de la CEC sur des points qui la freinent ou la
bloquent.
Après un an et demi d'existence, il était naturel de faire le point et d'engager un débat sur le mode de fonctionnement de la CEC. Comme l'a rappelé le président R. Leplaideur lors du bilan moral, le type de fonctionnement décidé lors de la fondation de la CEC était extrêmement décentralisé afin d'éviter une situation avec une "tête pensante" et des "bras actifs".
C'est ainsi que les propositions d'actions ou de prises de parole
publique de la CEC devaient exclusivement provenir d'une au moins de
ses associations membres et être approuvées par le quorum.
La réalité a été plus mitigée (cf. 2/). Des dysfonctionnements sont
apparus, en particulier lorsqu'un texte devant être rendu public dans
un délai relativement bref, a mis plusieurs mois à être approuvé et
ce, non pas du fait d'oppositions réelles, mais essentiellement du
manque d'intérêt de certaines associations.
Ainsi, on a pu clairement identifier au sein de la CEC une ligne
de partage entre les associations intéressées par la lutte politique
sur les statuts des thésards, les postes publics à pourvoir, la
recherche au sein de l'Université, etc, et les associations plus
intéressées par la valorisation de la thèse dans le milieu industriel,
la préparation des thésards aux entretiens d'embauche, la recherche de
débouchés extra-académiques, etc. Rares sont les associations qui
mettent l'accent sur ces deux objectifs simultanément.
En revanche, la mise en place du système de liste de discussion (tel
que la liste dédiée aux groupes de travail au ministère, appelée
"liste-ministère") a permis de prendre des décisions rapides
au nom de la CEC, bien que celles-ci ne soient votées que par le
nombre (restreint) de personnes ayant adhéré à la liste.
A partir de ces deux expériences, ADDOC a proposé une série de
modifications du mode de fonctionnement des votes à la CEC. ADDOC
considère que la CEC doit continuer d'exister, puisque c'est enfin un
interlocuteur reconnu, mais constate que certaines associations, par
leur faible réactivité, ralentissent (voire frustrent)
l'investissement personnel de certaines personnes ou associations
particulièrement actives.
ADDOC propose donc d'encourager un peu plus le poids des individus au niveau des prises de décision. Plusieurs axes sont envisagés :
- Au sein du CA, les statuts actuels prévoient que l'ensemble des individus compte pour une voix (même poids qu'une association). ADDOC propose que dorénavant, un individu compte pour un 1/n de voix avec n = 5, n étant modifiable à chaque AG
- Il est proposé de développer le système de vote de la "liste-ministère" : à chaque fois qu'une prise de position "rapide" serait exigée par des conditions extérieures. En revanche, un texte mûri par une réflexion de moyenne ou longue haleine devrait toujours être soumis au vote du CA.
- Un minimum de deux personnes représentant chaque association au CA apparaît nécessaire pour être certain qu'il n'y aura pas de blocage systématique de l'information vers les autres membres de l'association (expliquant peut-être certaines apathies).
- Le quorum nécessaire pour faire passer un vote au CA devrait
passer de 67% à 50% pour faciliter les prises de décision.
Appuyant la demande d'ADDOC, Joël Marchand fait remarquer qu'E&R
(Etudiants et Recherche) avait pu fonctionner si longtemps du fait
même de l'absence de quorum. Il lui semble que c'est plus la rapidité
et la qualité de la réaction de la CEC qui seront jugées de
l'extérieur que le nombre de personnes prenant part aux décisions.
Le coordinateur Fabrice Rouillier, en revanche, préconise un vote
de tous les membres de la CEC à chaque prise de décision importante
(il exclut le vote par les seuls inscrits à une liste type
"liste-ministère" et préfère que celle-ci ne soit mise en
place que pour accélérer la discussion). Prenant acte des
ralentissements actuels, il propose deux solutions, la seconde ayant
sa préférence : soit les associations qui ne donnent jamais de
signe de vie sont exclues de la CEC (pour qu'elles n'empêchent pas
systématiquement
d'atteindre le quorum), soit on diminue le quorum, comme proposé
par ADDOC.
Pour fluidifier encore plus les mécanismes de prise de décision,
Luc Selig de BioDocs propose d'exclure du quorum toute association ne
se manifestant pas à l'occasion d'un vote (ce qui n'empêche pas à
l'association de se manifester à nouveau, ce qui la re-intègrerait
dans le quorum, son vote étant comptabilisé)
Ces discussions ont abouti à des motions dont certaines modifient les
statuts de la CEC : Cf. 5/.
3.b/ Informations sur les questions d'accès au réseau et de
pérennité de cet accès.
La problématique liée à l'hébergement informatique est la même que l'hébergement de la Guilde Des Doctorants (Cf. 2.c/). Joël Marchand avait annoncé la fin de l'hébergement de la CEC sur une machine de l'Ecole Polytechnique pour le mois de septembre 97. Les raisons ont été exposées lors du dernier CA de la CEC.
Christophe Gouinaud a depuis quelques mois proposé d'héberger sur sa machine la GDD comme la CEC. Ceci n'a pas encore pu être fait mais devrait pouvoir survenir dans les semaines à venir. La condition de cet hébergement était la participation de la CEC en terme de matériel par l'achat d'un disque (de l'ordre de 2 KF : d'où certains dons présentés lors du bilan financier, Cf. 1.a/).
En deux mots : notre principal outil est le mail, il faut donc pouvoir gérer les listes mails, s'assurer les services d'un gestionnaire de machine.
1/ Le but est donc d'obtenir : un droit de présence sur Renater.
2/ l'accès au réseau (tube) coûterait 10KF par mois, la solution retenue est donc d'utiliser l'accès au réseau via un laboratoire ou une université MAIS sur une machine qui nous soit propre (ou dans la solution proposée, propre à l'association GDD).
3/ Christophe Gouinaud gérerait l'aspect machine (administration informatique, i.e. le "contenant")
4/ les services CEC (le "contenu" i.e. web, mail & Co)
seraient assurés par des personnes de la CEC, comme c'est le cas
actuellement.
3.c/ Débat sur les points forts et les points faibles des
revendications de la CEC (CdT, vide concernant certaines
thématiques comme les heures sup, les post-doc, ...)
Tout au long du week-end de cette assemblée générale, une réflexion sur les revendications de la CEC a été menée qui partait pour part du constat suivant : la CEC a été invitée à trois tables rondes au ministère (Cf. 1.b/) mais elle avait un avis pertinent, argumenté et représentatif (voté par associations après discussions) principalement sur le statut du doctorant. Une réflexion avait été menée concernant les PRAG et entrait dans le cadre de la 2ème table ronde, quant au thème de la 3ème (post-docs et débouchés extra-académiques), il correspondait à un point faible au niveau des réflexions et revendications de la CEC alors que (Cf. 2.a) de nombreuses associations ont des actions locales concernant les emplois dans le privé.
Voici un résumé, par thème, des réflexions concernant les orientations de la CEC.
- il est possible que le ministère donne suite à la table ronde concernant le statut des doctorants par la proposition d'un accord cadre sur ce point : à suivre ...
- les Conventions/Contrats/Chartes de Thèse discutées ou mises en place localement sont bien sûr différentes les unes des autres et dépendent du contenu des discussions et des négociations locales. Si le ministère met en place quelque chose de national, cela doit être compris comme quelque chose de commun à tout les doctorants, ce qui n'empêche pas d'avoir des clauses locales allant au-delà.
- il a été rappelé que le CdT sous-tend la reconnaissance de la thèse comme expérience professionnelle, ce qui n'apparaît peut-être pas suffisamment dans sa formulation actuelle.
- les problèmes spécifiques des doctorants en sciences de l'homme ont
amené de nombreuses réflexions. Un "groupe littéraire" a
réfléchi au long de l'année sur ce thème :
Cf.
http://garp.univ-bpclermont.fr/cec/divers/litteraires/
Par ailleurs, certaines associations ayant des adhérents dans ces disciplines ont rapporté, lors de l'AG, leurs réflexions. En particulier, Michel Sonzogni du CDG pense que l'on ne peut pas interdire à quelqu'un qui souhaite faire une thèse de la faire pour raison de non financement (car certaines personnes font une thèse principalement pour leur culture personnelle et non pas dans une démarche d'emploi de chercheur ou enseignant-chercheur in fine - cette démarche est relativement fréquente en sciences de l'homme). Mais le financement est une des conditions de la validation des thèses comme expérience professionnelle. Aussi Michel pense qu'accepter un contrat (ou charte ou convention) de thèse qui puisse recouvrir simultanément thèses financées et non financées revient à détruire cet effet recherché de valorisation. Il propose donc :
1/ de se battre pour la mise en place d'un contrat le plus complet possible (avec financement) ;
2/ mais d'accepter des thèses qui se déroulent hors contrat (le doctorant qui s'engage dans cette voie difficile saurait tout ce à quoi il renonce : label de qualité, etc).
Michel Sonzogni a également rappelé qu'il faut continuer à utiliser le "Contrat de Thèse" (dans la version envoyée aux Etats Généraux de 96 : Cf. http://garp.univ-bpclermont.fr/CdT/toutCdT.html) comme base de discussion sur le statut du doctorant et sur les moyens de faire valider la thèse comme expérience professionnelle. Base de discussion pour des débats dans les associations, dans les laboratoires, ... Il a indiqué que si un contrat/convention/charte vient "d'en haut", il pourra difficilement être un instrument de mobilisation et de réflexion sur le terrain, ce qui est regrettable. Mais Michel reconnaît que nous sommes trop engagés dans cette voie avec le ministère. En réponse, d'autres personnes ont fait remarquer que ce que proposera le ministère ne peut être "que" éloigné de la version proposée pour discussion.
- Au dernier CA, il avait été proposé de mener une réflexion sur les heures sup. d'enseignements effectuées par des enseignants chercheurs pour élaborer une plate-forme de revendications (comment les réduire, quelles revendications porter en terme de créations de postes). Stéphane Chameron (président du CDT), avait indiqué que son association avait déjà planché là dessus. Mais depuis mi-avril, rien n'a été fait en ce sens.
- Réflexion sur le tutorat (tel qu'il est défini dans la réforme
de F. Bayrou) en cours suite au constat de disparités importantes
concernant sa mise en application entre différents établissements
d'enseignement supérieur.
3.d/ Un des objectifs : obtenir des représentants au CNESER
(Conseil National de l'Enseignement Supérieur et de la
Recherche)
A l'heure actuelle, au regard de la loi, sont considérées comme
représentatives les organisations qui ont des élus au CNOUS ou au
CNESER. Le CNESER est une commission qui voit passer tous les textes
provenant du ministère (habilitations de DEA, textes de loi, etc). Les
élections se font par collège : le collège étudiant (avec,
actuellement, des élus de l'UNI, l'UNEF, l'UNEF-ID, la FAGE et PDE) et
plusieurs collèges pour les enseignants-chercheurs, chercheurs,
ATOS-ITA, ...
En 1996, on a clairement empêché la CEC de présenter une liste pour
les élections au CNESER. En effet, les conditions nécessaires pour
qu'une liste puisse se présenter ont été modifiées 4 jours après la
création de la CEC exigeant en particulier que la liste (d'un total
de 22 personnes) comporte au plus 8 personnes d'un même cycle
universitaire.
La CEC avait réagi.
Par ailleurs, Joël Marchand a rappelé qu'il existe un corps social allant du DEA aux "pré-permanents" (ATER, post-docs, ...) : ce corps social regroupe des personnes en situations précaires et qui constituent 50% de la main d'oeuvre de la recherche française. Il a été également expliqué par plusieurs personnes qu'actuellement, les moniteurs et ATER ne peuvent pas se présenter au collège étudiant et doivent se présenter au Collège B, tandis que les personnes en DEA ou en thèse sans monitorat ne peuvent se présenter qu'au Collège étudiant.
Joël propose donc que la CEC demande la
création d'un collège propre à ce corps social avec 2 sièges (2 sièges
par souci d'ouverture : pour qu'il puisse y avoir plus d'une
organisation représentée).
Emmanuel Z. a indiqué que nous avons une possibilité de dialogue
avec l'actuel ministère car nous avions des contacts, avant la
dissolution de l'Assemblée Nationale, avec de nombreuses personnes y
travaillant. Il pense qu'il faut en profiter pour faire cette
demande.
Les discussions ont abouti au vote d'une motion : Cf. 5.0.
4/ Réflexion sur les débouchés extra-académiques
Résumé : Devant la quantité d'actions locales portant sur les débouchés extra-académiques (Cf. 2/), il a été décidé de se donner deux heures pour discuter des possibilités de mutualisation de ces efforts locaux et des possibles actions nationales sur ce thème.
Au cours de la discussion, deux niveaux de réflexion sont apparus. Le premier analyse la relation entre les actions locales des associations et ce qui peut être relayé au niveau national par la CEC. Le second porte sur les raisons pour lesquelles les jeunes docteurs s'intègrent si difficilement dans le monde de l'entreprise. Les deux aspects, "valorisation de la thèse en vue d'un emploi dans l'industrie" et "mise du gouvernement face à ses responsabilités (la multiplication du nombre des thèses date du Ministère Jospin de l'Education Nationale)", ont été évoqués.
Les débats ont abouti à la constitution de 2 groupes de travail :
- pour une mutualisation des actions locales (échanges d'information,
entraide) ;
- pour une action auprès du ministère dont les responsables (Allègre,
Courtillot) sont ceux qui ont augmenté (en 1988-89) le flux de
doctorants en vue de leurs futurs débouchés (Université 2000 et les
besoins de R&D dans le privé).
Discussion détaillée :
4.a.i/ Actions locales / relais national
Benoît Le Brun (CDG), avant d'entamer le débat, a fait part d'une enquête réalisée par un groupe de personnes (de la CEC et d'AHD), en partenariat avec l'ABG, et qui a été envoyée à 2000 entreprises. En résumé, on demande aux industriels ce qu'ils connaissent de la formation par la recherche, en particulier s'ils savent que la plupart des docteurs parlent anglais, maîtrisent des outils informatiques, etc. Réponses attendues pour début 1998.
Lançant ensuite le débat, il a demandé le label CEC pour un texte que
le CDG a élaboré en commun avec la CGPME Isère
(confédération Générale des PME de
l'Isère), valorisant notre formation
vis à vis du secteur marchand. Benoît voudrait également que chaque
association s'en saisisse et le distribue localement. Luc Selig
(BioDocs) se demande si le carrefour Biologie / Ministère /
Entreprises co-organisé par BioDocs ne pourrait pas avoir son pendant
à l'échelle nationale et pour d'autres disciplines.
Les réactions à ces deux propositions.
- Sur l'idée d'un forum organisé par la CEC :
Renée Boubour (ADOC Rennes) est convaincue que, pour être
efficaces, les actions de valorisation doivent être locales.
Joël Marchand ajoute un argument allant dans le même sens :
il prend l'exemple de "Recrue Des Sciences" (cf. 2.a) pour
remarquer que ce type d'action (forum) est entrepris essentiellement
par les doctorants qui veulent personnellement rencontrer des
industriels. En revanche, il souligne l'énorme intérêt qu'il y aurait
à ce que toutes les actions de ce type soient répertoriées et dont le
contenu soit accessible à toutes les associations.
Luck (Jacques Binet), quant à lui, ne croit pas à l'efficacité
des forums interdisciplinaires, qui auraient plutôt comme conséquence
de noyer le poisson.
- Concernant des textes ou plaquettes pour valoriser la formation à et
par la recherche dans le privé :
Michel (CDG) pense que le texte du CDG et de la CGPME peut être
pris comme base de travail par chaque association, mais que le plus
important, est d'élaborer un texte semblable AVEC des personnes des
PME locales qui, participant à la rédaction du texte, le diffuseront
et le défendront avec plus d'impact que si ce texte n'est diffusé que
par des doctorants. Le label CEC ne lui paraît pas nécessaire.
Sur ce dernier point, Véronique Hédou (Jacques Binet) pense que
l'estampille CEC est importante, aussi bien pour les actions locales
elles-mêmes que pour la publicité de la CEC. Néanmoins, cette opinion
n'a pas été reprise.
Il ressort donc de ces discussions que le rôle de la CEC serait de
relayer les actions locales de valorisation et d'en faire la
publicité, plutôt que de les inciter. Fabrice Rouillier suggère donc
qu'une liste de discussion et de pilotage soit créée à cette fin et
qu'un site WEB y soit éventuellement consacré. Très vite, des
candidats se sont désignés (cf. 4b).
Cependant, Renaud (ADDOC) a rappelé que la valorisation n'était pas le
seul angle d'attaque possible pour permettre une meilleure insertion
dans le monde de l'entreprise, et que la CEC devait jouer un rôle
moteur au niveau politique.
Il s'agit, entre autres choses, d'exiger du gouvernement que les
Crédits Impôt-Recherche ne puissent être accordés qu'aux seules
entreprises qui pratiquent l'embauche de jeunes docteurs, pour éviter
ainsi la sous-traitance banalisée à des laboratoires publics, où le
thésard fera le travail, mais sans emploi à la clé.
Un second groupe de travail sera ouvert à cette fin (cf. 4.b).
4.a.ii/ Docteurs / Industrie : Incompréhension ou inadéquation ?
Catherine (ATHEMA) rappelle que le doctorat est le seul diplôme
reconnu internationalement, et que cet argument est trop peu
développé. Il apparaît cependant que la particularité de la France est
l'existence d'écoles d'ingénieurs, qui constituent la filière préférée
des industriels, et concurrencent les formations par la recherche.
Stéphane (ADDOC) propose de demander au gouvernement une
discrimination positive favorisant les docteurs au détriment des
ingénieurs pour les postes de R&D (Recherche et Développement) des
grandes entreprises. Hélène (CDT) s'oppose farouchement à toute idée
de discrimination positive.
Michel (CDG) insiste plutôt pour que la thèse soit présentée
réellement comme une expérience professionnelle. Il pense qu'il faut
montrer aux entreprises que les laboratoires sont une organisation
professionnelle comme une autre.
Christine (BioDocs) analyse la formation d'ingénieur comme un
produit standard, facilement reconnaissable par les entreprises,
contrairement aux thèses, qui sont non-standard. Mais, se
demande-t-elle, faut-il standardiser ? Reprenant l'argument de
Michel (CDG), il vaut mieux, selon elle, insister sur le fait que la
thèse n'est pas seulement un diplôme, mais aussi une expérience
professionnelle.
Fabrice Rouillier se demande, cependant, si les docteurs sont
vraiment disposés à faire après leur thèse un travail complètement
différent, à changer de sujet. Il pense que non et qu'à l'inverse, un
ingénieur saura se vendre à tout prix.
Catherine (ATHEMA) indique qu'aux Mines d'Alès, les résultats obtenus au
cours des thèses sont validés industriellement.
Javier (ADDOC) se demande alors si ce n'est pas le sujet de la
thèse qui est primordial pour pouvoir s'insérer facilement dans le
monde de l'entreprise, et si finalement, il n'est pas un peu illusoire
de vouloir à tout prix valoriser industriellement une formation qui
est, dans la plupart des cas, essentiellement académique.
Patrick (ANCMSP) affirme ainsi que pour que ces formations soient
acceptées par les entreprises, il faudrait que l'Université toute
entière modifie ses choix disciplinaires et pédagogiques. Mais
serait-ce une bonne chose ?
Joël Marchand propose un troisième axe de réflexion. Son analyse
actuelle est que le nombre de débouchés en R&D pour les docteurs
n'augmentera pas. Dans le secteur académique, les augmentations
éventuelles du nombre de postes offerts ne suffiront pas à absorber
7000 thèses par an. Par contre, il pense qu'il y a des places dans le
privé en tant que cadres ainsi que des places dans les collectivités
locales et l'administration. Il s'agit de faire valoir non pas la
formation à la recherche mais un autre aspect de la thèse :
l'expérience humaine (intimement liée à la recherche) de la remise en
question et de l'échec qui est utile pour les postes de responsabilité
et qui lui paraît être un atout pour faire évoluer la société.
4.b/ Contenu et objectifs des deux groupes de travail.
Il est donc apparu lors des débats que les associations membres de la
CEC étaient intéressées par deux aspects complémentaires du problème,
l'action locale en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes
docteurs d'une part, la réflexion et la proposition d'autre part.
D'où la constitution de 2 groupes de travail : l'un pour des
échanges d'informations et des entraides concernant les actions locales
en faveur de l'insertion des docteurs dans le privé, et l'autre pour
élaborer une position officielle et une plate-forme de revendications
de la CEC concernant les débouchés extra-académiques.
Concernant le premier groupe, des compte-rendus d'actions en rapport
avec l'insertion des docteurs dans l'entreprise sont déjà disponibles
en :
http://garp.univ-bpclermont.fr/cec/divers/insertion-pro/cec-extra.html
Concernant le deuxième, la réflexion à mener est vaste et devrait
porter sur les points suivants :
- valorisation de la formation doctorale (CdT, annuaire
des thèses, inscription au Journal Officiel ...) ;
- sensibilisation des doctorants (et de leurs encadrants) au
monde de l'entreprise (doctoriales, formations complémentaires
...) ;
- statut du post-doctorant (le fameux "problème du
retour") ;
- post-docs en entreprises (CDD ou pas ?) ;
- mode de recrutement CNRS/Université ;
- actions en faveur de l'embauche des jeunes docteurs
("discrimination positive" ou pas ?, utilisation du
Crédit Impôt-Recherche ...) ;
- le lobbying des ingénieurs et la mauvaise image de marque du
doctorat ;
- la responsabilité de l'Etat (augmentation du nombre de
thèses dans les années 88-92).
5/ Ensemble des motions votées
Remarque préliminaire : certaines personnes ont précisé
qu'elles ne se sentaient pas mandatées pour voter certaines motions
(en particulier celles apportant une modification des statuts), mais
seule l'Assemblée Générale est habilitée à modifier les statuts.
Répartition des voix lors de l'AG : chaque association et chaque personne présent(e) ou représenté(e) compte l'une pour 5 voix l'autre pour 1 voix. Le total des voix exprimables lors de l'AG est donc :
17 associations * 5 + 5 * 1 = 90 voix.
Suite à une remarque des représentants de l'ANCMSP sur le côté
péjoratif du vocabulaire "sciences molles (versus sciences
dures)", "lettres versus sciences)", ... nous avons
voté pour l'usage des expressions suivantes : sciences de l'homme
et sciences de la nature.
détail du vote : unanimité
Discussion : Cf. 3.d
Pour que la CEC effectue une demande de création, au CNESER, d'un
collège spécial pour les personnes élues, au Collège Etudiant, dans
les Conseils Scientifiques des Etablissements d'Enseignement
Supérieur.
Remarque : nous n'avons pas précisé le terme exact pour désigner
ces personnes ("Chercheurs en Formation", 3ème cycles,
... ). Il s'agit là d'une motion "de principe", c'est le
rôle des personnes qui rédigeront la demande de trouver la
terminologie adéquate.
détail du vote : unanimité.
Discussion :
Le siège social de la CEC était depuis la création de la CEC chez Isabelle Colin sur Paris (article 3 des statuts), or Isabelle a déménagé et fait suivre son courrier jusqu'en mars 98. Par ailleurs, les cordonnées de Joël Marchand servaient à la fois de boite postale, coordonnées téléphoniques et fax. Le principal problème est que la plupart des doctorants n'ont pas une adresse suffisamment stable.
Quelques solutions sont proposées telles qu'un service de France
Telecom qui re-aiguillerait un numéro fixe vers un numéro pouvant
changer "souvent" mais plusieurs de ces solutions sont
écartées pour des raisons de coût.
Résultat :
Fabrice Rouillier se dévoue pour que ses coordonnées servent à la fois
de boite postale, téléphone, fax et de nouveau siège social.
: Les coordonées sont en
http://garp.univ-bpclermont.fr/cec/presentation/
détail du vote : 1 voix contre, 5 abstentions, 84 pour.
Les motions de 5.2 à 5.5 sont issues des propositions d'ADDOC :
Cf. 3.a/.
a/ Le quorum (pourcentage de voix exprimées pour qu'un vote soit
validé) est dorénavant de 50% (au lieu de 2/3).
détail du vote : 5 voix contre, 6 abstentions, 79 pour.
b/ Au bout de 2 votes non exprimés, l'adhérent (association ou
individu) resté silencieux sera contacté par la coordination. Si cet
adhérent ne donne toujours pas signe de vie, il ne sera pas compté
dans le quorum du vote suivant. L'adhérent peut toujours par la suite
se manifester à nouveau, et voter, auquel cas il est à nouveau
comptabilisé dans le quorum.
détail du vote : 5 voix contre, 6 abstentions, 79 pour.
Un individu disposera dorénavant de 1/n voix, où n sera remis en jeu à chaque Assemblée Générale. Le vote a porté sur n = 5.
détail du vote : unanimité
Au 1er novembre, la liste "ca" sera remise égale à la liste
des contacts des adhérents ayant payé les cotisations de l'année
97-98.
détail du vote : unanimité
Chaque association adhérente devra inscrire un minimum de
deux personnes à cette liste.
détail du vote : 5 voix d'abstention, 85 pour.
Il a été proposé de fixer un délai limite pour le dépôt des candidatures au bureau qui soit avant chaque AG (exemple : une semaine avant). Cette motion a été rejetée.
détail du vote : 85 voix contre, 5 abstentions.
En juillet dernier, une mailing liste appelée "liste-ministère" a été créée pour préparer les interventions de représentants de la CEC au sein de trois groupes de travail. Ces groupes avaient pour thématique :
1/ Condition des doctorants ;
2/ ATER et PRAG ;
3/ Emplois scientifiques et post-docs.
Depuis fin août plusieurs réunions se sont tenues au ministère qui
pourraient déboucher sur un accord cadre proposé par le ministère et
faisant la synthèse de ces discussions. La CEC devra alors
éventuellement entériner ou non cette proposition dans un délai très
bref (par exemple 48 heures).
Or, compte tenu des délais de concertation dans les associations, un
vote urgent ne peut se faire via la procédure habituelle (vote sur la
mailing liste 'ca'). Dans une situation d'urgence, seul un vote
d'individus peut se faire rapidement.
La motion suivante, portant sur un mode de vote exceptionnel, a donc été
adopté lors de cette AG : "voteront, sur cet accord cadre, les
personnes qui seront inscrites sur la "liste-ministère" au
jour J où le ministère fera ses propositions. Ce vote se fera à
raison d'une voix par personne, sans quorum, à la majorité absolue et
avec une limitation à 10 voix par association."
Les personnes de la "liste-ministère" seront en effet au courant des
négociations à l'origine des propositions du ministère et seront donc
les plus qualifiées pour porter un jugement dessus.
Chaque association est ainsi fortement invitée à avoir au moins un de
ses membres sur la "liste-ministère".
Pour s'abonner à la liste, il suffit d'envoyer une demande au
secrétariat de la CEC.
Enfin, l'AG a voté que "ce mode exceptionnel de prise de décision ne serait pas utilisé si le délai de réponse demandé par le ministère était jugé suffisant par les coordinateurs pour un vote sur la liste 'ca'."
détail du vote : 55 pour, 35 abstentions.
a/ En cas de litige grave demandant une réaction urgente vis à vis d'un membre d'une association ou d'un individu-adhérent, toute liberté est laissée au groupe constitué du bureau et de la coordination pour régler le problème rapidement. Est considéré comme "litige grave", tout motif d'exclusion décrit dans l'article 15.b/ des statuts. Ce groupe (bureau + coordination) devra ensuite donner toutes les explications nécessaires au conseil d'administration via le mail.
b/ La personne à l'origine du litige pourra alors, comme le prévoyaient déjà les statuts, donner son point de vue. Ensuite, le CA devra s'exprimer sur le maintien ou non des dispositions prises par le bureau et la coordination.
c/ En fonction du délai entre la date du litige et la réunion physique du CA la plus proche dans le temps, le point b/ se déroulera soit par mail, soit au CA suivant : ce choix est laissé à discrétion de la coordination.
détail du vote : 85 pour, 5 abstentions.
Il a été proposé que, si le système de vote décrit dans la motion 7 n'était pas utilisé, nous l'essayions tout de même dans un autre contexte d'urgence. Mais cette possibilité a été rejetée pour le moment (d'où la motion 10).
détail du vote : 36 voix contre, 31 abstentions, 18 pour, 5 voix
non exprimées.
Pouvoir est donné au Conseil d'Administration de modifier les statuts de la CEC pour élargir la procédure de "vote urgent" à d'autres contextes d'urgence.
détail du vote : 5 contre, 10 abstentions, 70 pour.
6/ Renouvellement du bureau et de la coordination
6.a/ Description des fonctions à pourvoir
Les personnes en titre ont chacune donné leur point de vue sur leur rôle, l'investissement en temps qu'il représentait, ... Pour tous ces rôles il est nécessaire d'avoir un accès facile au réseau informatique.
* le rôle de secrétaire :
- ne nécessite pas une disponibilité constante.
- Il faut : mettre à jour les mailing listes, les coordonnées
des adhérents, contacter les associations non adhérentes. Cela
demande d'être précis, méthodique et ordonné.
- Pour la gestion des pages web, cela peut être pris en charge par
d'autres personnes.
* le rôle de trésorière :
- boulot au moment des CA et des AG pour calculer la péréquation
- maintenir à jour et suivre les associations qui ont adhéré
- un impératif : avoir le compte dans la ville où l'on se
trouve.
* le rôle de président :
Renaud Leplaideur a tenu à rappeler qu'initialement, l'ensemble du
bureau (dont le président) n'est pas censé avoir une place privilégiée
pour représenter la CEC. Le but était de permettre à des porte-paroles
d'émerger car il était évident qu'un doctorant président de la CEC ne
pourrait assumer trop de rendez-vous sans que sa thèse s'en ressente.
Fabrice Rouillier et Joël Marchand ont fait remarquer que
symboliquement le président représente la CEC de sorte que sa présence
à certains rendez-vous importants (comme les tables rondes au
ministère fin août) a plus de poids pour appuyer certaines
revendications. Aussi, il doit faire un effort pour se tenir au
courant de tout au fur et à mesure et pour pouvoir répondre présent
pour quelques rendez-vous clés.
* la coordination :
On ne peut pas renouveler la coordination d'un seul bloc, il faut une
continuité et un minimum de formation (une période de ~ 6 mois pour
former un coordinateur). Il y a deux types de rôles possibles :
un rôle relativement global (être au courant de tout, avoir une vision
stratégique à long terme) et un rôle de suivi de tâches ponctuelles et
précises, de réponse aux mails quotidiens envoyés par les
associations.
Cf. aussi dans le bilan moral (1.b/) le point de vue de la coordination.
6.b/ Votes
Coordination :
Nadège Minois (du CDT), Fabrice Rouillier, Gilles Poirot
(d'ADDOC), Renaud Leplaideur (d'ADDOC), Marc Le Jeune (de CORE DUMP),
et en observateur : Luck Darniere (de Jacques Binet).
Le bureau :
Président : Michael Gutnic (d'ADDOC)
Secrétaire : Sophie Pécourt (de l'ADSL) et Guillaume Pons
(de l'AMESAT)
--> secretariat@poppea.polytechnique.fr
Trésorière : Véronique Hédou
Remarque : Il n'y a qu'un(e) secrétaire selon les statuts, et ce sera Sophie qui sera déclarée secrétaire auprès de la préfecture bien que les tâches soient partagées avec Guillaume.
Autre porte-parole : Benoît Le Brun
Gestion des pages web : Hélène Ardhuin et Renée Boubour.
--> cec-web@garp.univ-bpclermont.fr
Annexe : LISTE DES PARTICIPANTS
- ADDEM (Montpellier)
CANER Karine
- ADDOC (Orsay)
BUSSON Bertrand
LAVIGNAC Stéphane
LEPLAIDEUR Renaud
POIROT Hercule
RIVET Benoît
et 5 observateurs (Anne Parraud, Olivier Sester, Javier Perez,
Michael Gutnic, Athanassios Batakis)
- ADICJ (Paris)
PRIEUR Christophe
- ADOC (Rennes)
BOUBOUR Renée
CHARDIN Annabelle
HERAULT Chrystele
- ADSL (Lyon)
BOURGEOIS Marc
GOURMELEN Stéphane
JOLIMAITRE Elsa
PECOURT Sophie
- AJC 06 (Nice)
JOANNIDES Stéphane
PELLETIER Laurence
- AMESAT (Toulouse)
PONS Guillaume
- ANCMSP (Paris)
BRUNETEAUX Patrick
MASSE Jean-Pierre
- ATHEMA (Alès)
FOURNEL Line
GRACIAN Catherine
- BDT ENST (Paris)
ZARPAS Emmanuel
- BINET Jacques (Rennes)
DARNIERE Luck
HEDOU Véronique
MONTAGNON Claude
- BIODOCS (Paris)
COLIN Isabelle
DUMENIL Guillaume
SELIG Luc
SOUSTELLE Christine
- CDG (Grenoble)
DEPORTES Isabelle
LE BRUN Benoît
SONZOGNI Michel
- CDT (Toulouse)
ARDHUIN Hélène
CAILLAU Jean-Baptiste
MINOIS Nadège
- CORE DUMP (Nancy)
LEJEUNE Marc
- Individuels :
MARCHAND Joël
ROUILLIER Fabrice
contact @ cjc . jeunes-chercheurs . org © 1996-2024 Confédération des jeunes chercheurs.
Ce document (/presentation/reunions/1997-09-13/index.html
) a été mis à jour le 19 juin 2007